Ce fut finalement un tour d’une seule journée qui s’organisa le lendemain. Après m’être brûlée la langue avec mon dernier maté de coca, je suis montée dans le vieux 4x4 de l’agence, avec Amy, une états-unienne hispanophone (fait assez rare pour être souligné), deux toulousains, Denis et Clair et un bolivien, Freddy notre chauffeur. A peine quelques minutes après notre sortie de la ville, le salar est apparu, blanc comme neige mais sec comme un désert, plat comme un lac et grand comme un océan. 
Avant de rentrer dans le village de Colchani où nous attendaient des vendeurs d’objets artisanaux fabriqués en sel, nous avons dû nous acquitter de la taxe servant à organiser les Fiestas Patrias à venir. Après les formalités touristiques nous avons récupéré dans leur hôtel de sel un couple d’allemands, accompagnés de leur petite fille adoptée en Bolivie. L’étape suivante fut celle des champs de sel, où s’alignent les petits monticules qui fourniront ensuite tout le pays en sel. Le chapeau était de rigueur, pour se protéger des ardeurs du soleil, comme les lunettes pour éviter sa réverbération sur le sel et l’écharpe pour résister au vent froid que rien n’arrête sur cette plaine d’altitude.
Après quelques acrobaties, nous nous sommes remis en route, pour rejoindre le musée de sel, posé au milieu de nulle part. L’intérêt était très limité, mais il était vivement conseillé d’y acheter un petit quelque chose pour contribuer à son organisation.
Avant de rentrer dans le village de Colchani où nous attendaient des vendeurs d’objets artisanaux fabriqués en sel, nous avons dû nous acquitter de la taxe servant à organiser les Fiestas Patrias à venir. Après les formalités touristiques nous avons récupéré dans leur hôtel de sel un couple d’allemands, accompagnés de leur petite fille adoptée en Bolivie. L’étape suivante fut celle des champs de sel, où s’alignent les petits monticules qui fourniront ensuite tout le pays en sel. Le chapeau était de rigueur, pour se protéger des ardeurs du soleil, comme les lunettes pour éviter sa réverbération sur le sel et l’écharpe pour résister au vent froid que rien n’arrête sur cette plaine d’altitude.
Nous avons enfin atteint l’île sur laquelle nous avons crapahuté une bonne demi heure avant de redescendre déjeuner au milieu d’un troupeau de 4x4. J’y ai goûté ma première assiette de quinoa et dans un tel cadre je n’ai pu qu’être conquise.
Enfin nous nous sommes arrêtés aux Ojos del Salado, à l’endroit où ressurgit l’eau emprisonnée sous ce lac de sel.
Pour se réchauffer ce soir là, nous nous sommes retrouvés à quatre français, une japonaise et une états-unienne, pour boire un verre et manger des crêpes dans un restaurant français, enfumé mais aussi réchauffé par le feu alimenté en son centre. Une soirée sympa, avant que chacun continue son voyage de son côté.
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